Quelques citations sur l'islam...
Cela fait partie du plan de bataille contre l'islam de travailler à lui faire quitter la catégorie du religieux (nécessairement respectable, de paix, qui a vocation à avoir des lieux de culte, des aumôniers...) pour lui faire intégrer la catégorie des partis politiquesdont les objectifs et les moyens doivent être encadrés par le respect de l'ordre public.
La maison de servitude, c'est l'islam lui même. Beaucoup de gens, ne rêvent qu'à une chose, en revenir à la maison de servitude. Ils sont fatigués de la liberté, n'aspirent qu'à en être débarrassés. Qu'à cela ne tienne, l'islam les en débarrasse.Il leur offre tout ce qu'ils désirent, des lois strictes et des peines sévères à ceux qui les enfreignent. Les gouvernants eux aussi sont séduits. L'islam leur facilite la tâche, c'est une idéologie qui leur convient.
L'islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d'étendre leur domination sur le monde.
Et pour un Averroès, ou un Avicenne — ces prétextes tellement utiles... — combien d'imams hyper mnésiques ?
L'islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europeet qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l'intolérance, l'abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l'opposition à l'absolutisme politique, la fin de toute religion d'Etat, la proscription de la pensée magique, l'élargissement de toute liberté de pensée et d'expression, la promulgation de l'égalité des droits, la considération que toute loi relève de l'immanence contractuelle, la volonté d'un bonheur social ici et maintenant, l'aspiration à l'universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate...
L'islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à faire — pardonnez-moi — que d'enculer leurs chameaux.
La religion la plus con, c'est quand même l'islam. Quand on lit le Coran, on est effondré... effondré.
Il n'y a pas d'Islam militant et d'Islam modéré. Il n'y a que des variations d'intensité. Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement
Les musulmans, et pire encore les musulmanes, sont les premières victimes de l'Islam.
L'islam est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l'Islam ?
L'islamisme est une idéologie de destruction de masse. Elle propage le chaos, elle abolit ce qui différencie l'homme de l'animal : la liberté de pensée, d'expression, de vivre...Là où d'autres idéologies — le nazisme, le fascisme, le communisme — ont échoué, l'islamisme peut réussir.
En tant que croyance et doctrine, l'islam est politique, culturel, social et militaire. Tout cela est inclus dans le livre saint : le Coran, révélé par le prophète Mohamed dont la vie doit être un modèle pour tous les musulmans. En cela l'islam veut nier toute distinction entre les personneset toute différence de comportement. Nier le concept d'individu.
L'islam actuel n'est pas compatible avec les présupposés de l'Etat de droit occidental.
L'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre !
N'y a-t-il meilleur symbole de soumission à l'impérialisme musulman que l'image du peuple algérien qui se prosterne cinq fois par jour vers son conquérant situé en Arabie.
Tous les musulmans devraient s'interroger pour comprendre pourquoi la foi qu'ils aiment a produit autant de mutants.
Fatwa : Sorte de mini-encyclique que peut concocter n'importe quel curé musulman venu.
Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps... Actuellement, il est trop tard ! Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution.
Le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam. Tout ce que nous pouvons faire c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution.
Page 2 sur 4